Les bienfaits de construire un puits en Islam sont considérables. Cette action se caractérise par sa noblesse, puisqu’elle est la cause d’un grand bienfait pour l’humanité.
Quelle est la durée de la construction d’un puits ?
Un puits creusé à la main prend un temps variant entre 3 et 12 semaines. Le processus varie en fonction de plusieurs facteurs. La disponibilité des matériaux ainsi que le type des roches du sous-sol sont probants dans le temps du forage du puits. Avant de faire un puits, il est obligatoire d’examiner également le risque d’inondation ou de dégradation de l’environnement. L’organisme Kebchi s’assure que le puits n’est pas positionné à proximité ou en aval de sources de matières polluantes.Construire un puits en Islam : prix
Chez Kebchi, vous pouvez construire un puits à Madagascar avec une plaque à votre nom pour une valeur de 899€.Faire un don d’eau potable : une action très récompensée
L’eau est la ressource la plus importante pour l’être humain.
Avoir accès à l’eau constitue un droit immuable.
Comment expliquer que dans les zones occidentales, s’en procurer est acquis de droit, tandis que dans d’autres régions du monde, il demeure pratiquement impossible d’en avoir.
Allah a dit : « Au moyen de l’eau, nous donnons vie à toute chose ». Abreuvant l’être humain, le nourrissant, elle permet également au croyant de se purifier afin d’effectuer ses ablutions.
Construire un puits est une cause de bien pour une communauté, mais également pour ses animaux qui pourront s’abreuver au puits. Par ailleurs, cette action permet d’éviter le long déplacement des nécessiteux, simplement pour s’abreuver.
Par conséquent, en islam, construire un puits est la meilleure des aumônes.
D’après ‘Abdallah Ibn ‘Abbas, (qu’Allah soit satisfait de lui), le Prophète (ﷺ) a dit : « La meilleure aumône est de donner de l’eau à boire »
Ajouté à cela, cette même aumône au nom d’un défunt, fait également partie des meilleures actions.
Sa’d ibn ‘Ubâda, qu’Allah soit satisfait de lui, a rapporté : « Je dis au Prophète (ﷺ) : « Ô Messager d’Allah, ma mère est décédée, puis-je faire l’aumône en son nom ? » – « Oui. », répondit-il. – « Quelle est la meilleure aumône ? », demandai-je alors. – « Donner de l’eau à boire. », répondit-il. »
sahîh an-nasâ î, n°3666